La petite histoire de la maison de la culture de Saint-Donat

Histoire > Autres articles > La petite histoire de la maison de la culture de Saint-Donat

LA PETITE HISTOIRE DE LA MAISON DE LA CULTURE DE ST-DONAT

La Maison de la Culture nous accueille depuis le 30 novembre dernier et nous offre un lieu culturel longtemps désiré par plusieurs d’entre nous.
Issue de besoins exprimés par la population, le service de la bibliothèque est l’ancêtre dans l’histoire municipale et offre des services depuis maintenant 14 ans. C’est d’ailleurs Mme Rachel Coutu Nielly qui en est pionnière et qui relève le défi du livre à Saint-Donat.
Au fil des ans, on voit le développement culturel dans les secteurs de la musique, des arts, du théâtre, du livre et autour d’une société d’histoire. Une centaine de personnes ont œuvré afin d’assurer une présence culturelle dans le développement de Saint-Donat.
C’est en 1983 que la Corporation de la Maison de la Culture se fonde, sous la présidence de Mme Danielle Granger. On retrouve, au service des Loisirs municipaux, un secteur culturel développé par Mme Johanne Roy. Le conseil d’administration se mandate de faire une étude sur les besoins et la possibilité d’offrir une infrastructure pour le secteur culturel. La relocalisation de la bibliothèque devient essentielle.
Le changement de gouvernement en 1984 fait basculer le dossier, et il faudra attendre plusieurs années avant d’accéder à la subvention offrant une aide financière pour construire la bibliothèque actuelle.
Les besoins accrus, la volonté municipale d’offrir un service pertinent à la population, la collaboration de la Commission scolaire des Laurentides et de sa direction locale, assurée par M. Claude Labarre, ont permis de regrouper les énergies et de bâtir la ‘’Maison de la Culture de Saint-Donat’’. Vous y trouverez la bibliothèque municipale, un local de musique et un local d’arts. Ces derniers locaux sont polyvalents et offrent une gamme intéressante de possibilités. Bienvenue à tous !
Louise Beaudry Cardinal
Directrice du service des Loisirs socio-culturels

Source : Journal Altitude, décembre 1990,